dimanche 15 novembre 2009
jeudi 5 novembre 2009
Jean-Jacques Birgé et Nicolas Clauss
Installation vidéo interactive de Jean-Jacques Birgé et Nicolas Clauss
(filmé par 24 images, monté par Françoise Romand)
Trois portes sans serrures.
Pour voir, il faut véritablement jouer avec elles en restant sur le seuil. Au-delà défilent les images en mouvement : la chair, corps devenant tâches, flux, musique passagère.
Chœur d'outre-terre, rythmes mécaniques, matière vive composent l’orchestre à trois voix d’un monde littéraire. Conte ou fable, on pourrait y découvrir Bosch, dans l’ombre, en train d’espionner Dante. Des âmes, ou peut-être des fous, nous transforment en visiteurs actifs, « acteurs ».
On se fait dévorer, on se laisse emporter, réveiller :
de grandes bouches et des yeux qui roulent, des dents qui grincent ; de petits hommes mystérieux qui drôlement sortent de nulle part ; et encore des corps nus qui défilent et se touchent, puis l’enfer...
(filmé par 24 images, monté par Françoise Romand)
Trois portes sans serrures.
Pour voir, il faut véritablement jouer avec elles en restant sur le seuil. Au-delà défilent les images en mouvement : la chair, corps devenant tâches, flux, musique passagère.
Chœur d'outre-terre, rythmes mécaniques, matière vive composent l’orchestre à trois voix d’un monde littéraire. Conte ou fable, on pourrait y découvrir Bosch, dans l’ombre, en train d’espionner Dante. Des âmes, ou peut-être des fous, nous transforment en visiteurs actifs, « acteurs ».
On se fait dévorer, on se laisse emporter, réveiller :
de grandes bouches et des yeux qui roulent, des dents qui grincent ; de petits hommes mystérieux qui drôlement sortent de nulle part ; et encore des corps nus qui défilent et se touchent, puis l’enfer...
http://www.nicolasclauss.com/
mardi 3 novembre 2009
lundi 2 novembre 2009
Milan Knizak - "Broken Music Composition, 1979"
"In 1963-64 I used to play records both too slowly and too fast and thus changed the quality of the music, thereby, creating new compositions. In 1965 I started to destroy records: scratch them, punch holes in them, break them. By playing them over and over again (which destroyed the needle and often the record player too) an entirely new music was created - unexpected, nerve-racking and aggressive. Compositions lasting one second or almost infinitely long (as when the needle got stuck in a deep groove and played the same phrase over and over). I developed this system further. I began sticking tape on top of records, painting over them, burning them, cutting them up and gluing different parts of records back together, etc. to achieve the widest possible variety of sounds. A glued joint created a rhythmic element separating contrasting melodic phrases... Since music that results from playing ruined gramophone records cannot be transcribed to notes or to another language (or if so, only with great difficulty), the records themselves may be considered as notations at the same time." - Milan Knizak
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